Voilà quelques trucs qu’on m’a répondu sur ma pulsion de meurtre, merci à eux de m’avoir aidé:
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{{Felix:}}
Ne sois pas inquiet, il se peut juste que ce soit deux instincts qui sont entrés en collision dans ton inconscient : l’un, voyant le danger, celui que ta copine se blesse avec la lame, l’autre, disons. plus freudien. On rencontre cette peur soudaine devant un danger,
notamment chez les mères vis à vis de leur enfant : leur imaginaire produit une image horrible du pire scénario. Cela peut inquiéter de soi-même, mais c’est une sorte de signal d’alarme, en forme d’électrochoc - instinct de conservation.
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{{Gilgamesh:}}
-- C’est très désagréable, mais à mon avis assez courant.

Je pense simplement que le cerveaux fait des associations d’idées assez libres, à partir du sens que nous donnons aux choses. Par exemple dans votre cas :

couteau = arme tranchante. C’est engrammé dans le mot, dans l’objet même quand nous nous en servons pacifiquement.

Gorge = entrée du corps, muqueuse fragile…

L’association d’idée dans ce cas correspond à un meurtre.
*Ensuite*, vous évaluez cette vision, et vous la trouvez affreuse...
C’est normal. Mais il ne faut pas vouloir lui faire dire plus que cela
ne veut dire. Il faut tout simplement l’oublier. Car le retenir serait
lui fixer une valeur de souvenir, souvenir extrêmement négatif, qui
plus est. Il y a juste de quoi vous faire craindre systématiquement le "travail automatique" du cerveau, qui n’a rien que de très normal et qui est habituellement très utile.