Le Collectif des Monstres Anonymes

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février 2004

La pédophilie sur Internet

Par Kero La pédophilie est peut-être actuellement l'un des sujets les plus médiatisés qui soit, mais paradoxalement l'un des plus méconnus. Entre les clichés, la désinformation, les délires de parts et d'autres, et la nébuleuse associative parfois loin d'être tout à fait "clean", peu de gens à l'heure actuelle peuvent se targuer de maîtriser le sujet de la pédophilie, dans la vraie vie comme dans la réalité. Cela peut amener certaines personnes hautes-placées, ministres, députés et sénateurs, à plonger dans les pièges les plus courants tendus sur le sujet, et ainsi à (...)

Ma nouvelle vie

Par Amegah -- Salut, je viens de découvrir le collectif des monstres. J'aime le concept de venir déposer un brin de soi ou de ses réflexions dans l'immensité. A chacun d'en faire ce qu'il veut. Alors je vais laisser un peu de moi même. Ca fait 3 semaines que j'ai quitté Toulouse et ma ville d'adoption me manque. J'y ai grandi 6 années importantes et me voilà de retour à Paris. Le boulot n'a pas de coeur. J'ai laissé mes amis dérrière moi, et mes amoures et leurs espoirs avec. J'ai pris des grandes décisions depuis mon retour, comme celle de ne pas m'encombrer. J'ai donc (...)

Recherche l'Ailleurs...

Par Amegah -- Je ne me sens pas appartenir à quelque chose. Je me sens seule. Je sens un trop plein de choses qui voudraient s'exprimer et qui ne trouvent pas à qui parler. Je doute des gens qui m'entourent. Je doute de ce que je suis et bien plus que de ceux qui m'entourent. J'ai peur de rester toujours dans cette solitude à laquelle nous sommes tous condamnés. Je ne me sens pas bien dans ce quand et je ne me sens pas bien dans ce où. J'ai envie de m'enterrer pour rester tranquille mais j'ai trop besoin des autres pour en avoir le courage. Même si je sais que les autres ne peuvent (...)

L'Autre

Par Amegah --- Je me demande parfois à quoi ça sert d'écrire. Question que je ne me posait pas avant. J'écrivais, un point c'est tout. Maintenant à tout cela est venu se rajouter une quête de la perfection. A la pression de devoir réussir à exprimer ce que l'on est, ce que l'on vit et respire, s'est ajouté la contrainte de devoir le faire bien. Ca m'ôte tout le plaisir. Et pourtant. Je me demande à quoi ça sert d'écrire. Si j'écris avec plaisir encore aujourd'hui ce n'est qu'en entretenant l'illusion que "tu" existes. Mon patient confident et complice. Pour une nuit, pour une (...)